La mise en détention préventive de Mme Louisa Hanoune, première responsable d’un parti politique, pose clairement la question des libertés politiques et interroge sur les véritables intentions du nouveau pouvoir.
Faisant suite à une série d’arrestations d’anciens responsables du pays et d’hommes d’affaires, ce dernier acte fait peser de lourdes présomptions sur l’orientation que prend le cours des événements.
L’implication de la justice militaire suppose des actes gravissimes des prévenus, tous civils ou retraités de l’armée.
Alors que le mouvement populaire appelle à la mise en place d’un Etat de droit, ces affaires judiciaires doivent être impérativement clarifiées auprès de l’opinion publique.
Le régime de Bouteflika doit être remplacé par un processus démocratique et en aucun par un système autoritaire.
Les Algériens refuseront tout détournement de leur révolution.
Le Président
Soufiane Djilali
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